Arrêtez l’idéologie du genre dans les écoles du Nouveau-Brunswick !
L’incitation au transgenrisme à l’école conduit souvent à des mutilations chimiques et chirurgicales. Arrêtons cette maltraitance des enfants !
Saviez-vous que la décision de confirmer un enfant comme « transgenre » — c’est-à-dire de soutenir l’illusion qu’il est « piégé dans le mauvais corps » — conduit souvent à l’emploi de bloqueurs de puberté, à la castration chimique chez les garçons, à l’ablation des seins chez les filles et à la mutilation génitale ?
Une étude publiée en 2022 a révélé que près des deux tiers des jeunes enfants qui s’identifiaient comme « transgenres » finissaient par prendre des bloqueurs de puberté ou des hormones de l’autre sexe. De nombreux enfants qui empêchent leur puberté et prennent des hormones transsexuelles finissent par décider plus tard de subir une « chirurgie du haut » ou du « bas » pour enlever des parties de leur corps parfaitement saines.
En fait, une étude réalisée en 2023 a révélé que des centaines de jeunes filles canadiennes de moins de 18 ans avaient subi une double mastectomie au cours des cinq dernières années !
L’ablation de parties du corps parfaitement saines n’est pas sensée d’un point de vue médical ou mental.
Ces interventions chirurgicales et chimiques sont extrêmement malsaines et comportent des risques médicaux à vie, des complications et des hospitalisations.
Alors, pourquoi certains enseignants du Nouveau-Brunswick — et le Parti libéral du Nouveau-Brunswick — se battent-ils pour obtenir le « droit » d’utiliser la salle de classe pour conduire les élèves mineurs sur cette voie dangereuse ?
Les bloqueurs de puberté (œstrogènes et testostérone à haute dose) sont des produits puissants qui peuvent causer une infertilité irréversible, fragiliser les os, retarder la croissance d’un enfant, réduire le volume du cerveau, augmenter le risque de maladies cardiovasculaires, de caillots sanguins et de divers cancers.
Les écoles doivent cesser d’encourager le transgenrisme
La Fédération des enseignants du Nouveau-Brunswick a soutenu une action en justice contre le gouvernement progressiste-conservateur de Blaine Higgs, afin de faire annuler sa politique en matière de droits parentaux, qui oblige les écoles à obtenir le consentement des parents avant que les enfants puissent utiliser des noms et des pronoms de l’autre sexe lorsqu’ils sont à l’école.
De même, la députée Susan Holt, chef du Parti libéral du Nouveau-Brunswick, s’est engagée à abroger la politique de consentement parental du premier ministre Higgs si son parti forme le gouvernement. Elle veut que les écoles puissent tenir les parents dans l’ignorance de la transition sexuelle de leurs propres enfants !
Cela revient à pousser les enfants à prendre des bloqueurs de puberté, à les soumettre à un empoisonnement hormonal et, pour beaucoup d’entre eux, à les amener un jour à se faire amputer de parties saines de leur corps par une opération de changement de sexe, que ce soit à l’âge adulte ou avant.
Des taux de suicide nettement plus élevés
L’étude la plus fiable au monde sur les effets de l’opération de changement de sexe sur la santé mentale, une étude de cohorte pluriannuelle commandée par le gouvernement suédois, a révélé que les transsexuels post-opératoires présentaient un risque de suicide 19,2 fois plus élevé.
Nous savons donc que le mensonge selon lequel l’affirmation de l’identité transgenre chez les enfants « sauve des vies » est grossier. C’est le contraire qui est vrai. Lorsque les enseignants affirment l’identité transgenre des enfants, cela conduit un grand nombre d’entre eux à prendre des bloqueurs de puberté et des hormones, et finalement, beaucoup d’entre eux s’engagent sur la voie de la mutilation chirurgicale, où leur probabilité de se suicider est multipliée par près de 20 !
La progression est indubitable.
Dites au premier ministre Higgs de défendre la politique de consentement parental
Le premier ministre Higgs ne doit pas faiblir face aux poursuites judiciaires ou aux pressions du syndicat des enseignants et des libéraux de Susan Holt. Les Néo-Brunswickois doivent l’encourager à maintenir sa position sur les droits parentaux et à utiliser toutes les ressources gouvernementales à sa disposition pour défendre sa politique de notification et de consentement parental.
À cette fin, veuillez signer la pétition ci-dessous et nous la remettrons au premier ministre Higgs.
« Monsieur le Premier Ministre,
Je soutiens pleinement la directive de votre gouvernement en matière d’éducation qui exige que les écoles obtiennent le consentement des parents avant que les enseignants puissent procéder à la transition sexuelle des enfants à l’école.
Veuillez utiliser toutes les ressources de votre gouvernement pour combattre et remporter toute contestation à votre politique en matière de droits parentaux. Ce faisant, vous sauverez de nombreuses vies. »